GHAU
Le ghau est une sorte d’autel transportable dans lequel l’image de la divinite d’election du possesseur est gardee, enveloppee dans des vetements de soie. La grande majorite des Tibetains utilisent le ghau a la maison et la transporte durant leurs voyages. Ils la gardent sur un veritable autel a la maison. Lors des voyages, elle est accrochee a la ceinture de dos. Il sert de symbole protecteur durant les voyages et permet egalement a son possesseur de prouver sa devotion a sa deite.
Piece entierement faite main et artisanale.
Dimension du Ghau: 53.5/ 30.2/ 10.3mm
argent 925, Or, Cuivre,
Turquoise de la province du Hubei. Agate dite nan hong (rouge du sud), gisement de baoshan dans la province du Yunnan. Mineral exclusivement chinois, cette agate dite nan hong (rouge du sud) tient sa couleur tres particuliere par son lien avec le cinabre sur les gisements. Lieux de gisements (volcanique) Region du Yunnan site de baoshan, Sichuan site de Liangshan pour les deux uniques gisements
Pierres entierement naturelles, En tant que gemmologue diplome de l'Institut National de Gemmologie de Paris, toutes nos pierres sont expertisees et certifiees.
Roue de la vie bouddhiste tournante. Au verso est concue une roue de la vie bouddhiste tournante grace a un roulement a bille de haute precision allemand, comme le montre cette video generaliste concernant toute cette collection
Veritable Tangka Regong traditionnel Le tangka est peint au temple de Longwu, appele egalement Wutun.
Lamaserie tibetaine situee dans la prefecture tibetaine de Rebkong , province de l'Amdo ,appele Huangnan dans la province du Qinghai en Chine et se trouve a 186 km de Xining.
Centre repute de peinture de thangka tibetaines. Les arts Regong ont ete inscrits en 2009 sur la liste representative du patrimoine culturel immateriel de l’humanite. Les couleurs de ce tangka sont composees d'or pur et de mineraux broyes.
Les vitres protectrices sont realisees en leuco saphir comme les montres haut de gamme.
Vendu avec un cordon reglable, rehausse d'argent 925 adaptable a toutes tailles.
BODHISATTVA SAMANTABHADRA
Bodhisattva Samantabhadra est un protecteur des gens nes sous le signe du dragon et du serpent. Cette amulette le represente en peinture. Samantabhadra, dont le nom en sanskrit signifie dignite universelle, est un bodhisattva du Mahayana, ou grand vehicule, Associe au dhyana, la meditation,
Il forme une triade avec le bouddha Siddartha Gautama et le bodhisattva Manjushri. Dignitaire du sutra du lotus, et selon le sutra d’Avatamsaka,
Samantabhadra a fait les dix grands vœux du bodhisattva :
Connu dans le bouddhisme chinois sous le nom de Puxian, il est associe a l’action, tandis que Manjushri est associe a la sagesse transcendante ou prajna.
Repondant du nom de Fugen au Japon, Samantabhadra fait l’objet d’un culte important dans les courants Tendaï et Shingon.
Considere comme l’adhi-bouddha (Bouddha Primordial) dans le courant Nyinqma du bouddhisme tibetain, il y est souvent represente en Yab-Yum, ou union indivisible male femelle avec son epouse ou paredre Samantabhadri. Dzongsar Khyentse Rinpoche suivant la tradition Nyingmapa Dzogchen qualifie la nature et l'essence de Samantabhadra, le Bouddha Primordial, comme la source sans origine des enseignements Atiyoga intemporels et illimites, et honore le point de vue contradictoire entretenu par certaines parties soutenant que les enseignements Dzogchen sont originaires de la tradition Bonpo.
Ou du moine chinois Moheyan : “Samantabhadra n'est pas soumis a des limites de temps, de lieu ou de conditions physiques. Samantabhadra n'est pas un etre colore a deux yeux. Samantabhadra est l'unite de la conscience et de la vacuite, l'unite des apparences et de la vacuite, la nature de l'esprit, la clarte
naturelle avec une compassion incessante - c'est Samantabhadra depuis le debut.“
Contrairement a son homologue plus populaire Mañjuśrī, Samantabhadra n'est que rarement represente seul et se trouve generalement dans une trinite du cote droit de Shakyamuni, monte sur un elephant blanc a six defenses. Dans ces traditions qui acceptent l'Avatamsaka Sutra comme son instruction fondamentale, Samantabhadra et Manjusri flanquent le Bouddha Vairocana, le Bouddha central de ce soutra particulier.
Il est parfois montre dans l'art chinois avec des caracteristiques feminines, chevauchant un elephant avec six paires de defenses tout en portant un "parasol" de feuille de lotus (sanskrit : chatra), portant une robe et des
caracteristiques similaires a certaines representations feminines de Guanyin. C'est sous cette forme que Samantabhadra est venere comme le bodhisattva protecteur des monasteres associes au mont Emei dans l'ouest de la Chine dans la province du Sichuan, important lieu de pelerinage bouddhiste. Certains pensent que la monture d'elephant blanc de Samantabhadra etait le meme elephant qui est apparu a la reine Maya, la mere du Bouddha, pour annoncer sa naissance. Les traditions esoteriques du Mahayana traitent Samantabhada comme l'un des Bouddhas «Primordiaux» (sanskrit : Dharmakaya), mais le Bouddha primordial principal est considere comme Vairocana.
Le peuple sri-lankais venere Samantabhadra Bodhisattva comme Saman (egalement appele Sumana, Samantha, Sumana Saman). Le nom Saman signifie "le soleil levant du matin". Le dieu Saman est considere comme l'une des divinites gardiennes de l'île ainsi que comme un protecteur du bouddhisme. Son sanctuaire principal est situe a Ratnapura, où se tient un festival annuel en son honneur."
RefAAA